Femme Bcbg, Escorte, Non, Pute (88)
Un jour où je flânais profitant du soleil de décembre, je me suis assise à la terrasse dun café.
Mon cerveau déconnectait à la limite de lendormissement, jusquau moment où le serveur est arrivé avec son plateau pour apporter sa consommation au client assis à la table voisine.
Quand le serveur lui a parlé, le client a sursauté et la bousculé, le demi a fait une jolie courbe et est venu atterrir sur ma tête et tout mon côté.
Tu as pris le verre sur la tête.
Non, coup de chance.
Le verre est tombé et a éclaté sans me toucher, seul le liquide ma atteint.
Rapidement le serveur est entré chercher des linges.
Le client sest approché de moi et a pris mes mains dans les siennes.
Nous avons éclaté de rire.
La bière continuait de couler jusqu'à ce que les serviettes arrivent.
Le client les a passés sur ma tête et mon bras, il ma même effleuré un sein, il est devenu tout rouge et cest excusé.
Je me suis levé, jai voulu entrer chez moi prendre une douche, il a tenu à maccompagner.
Quand il est arrivé à la porte de mon immeuble, il a souhaité mattendre le temps que je prenne une douche et moffrir le restaurant pour sexcuser du geste qui mavait fait prendre une douche à la bière.
Javais appris à être un peu garce avec les hommes.
Je lai fait mariner plus dune heure, le regardant tourner en rond devant limmeuble persuadé que comme la plupart des hommes en même circonstance ils partiraient.
Quand je suis descendu il était toujours là.
Il sest présenté me disant sappeler Georges, quil habitait un studio à Saujon et quil était représentant de commerce principalement pour le fromage de chèvre. Je lui ai donné mon prénom Océane ce quil a énormément aimé.
Comme promis il ma amené dans un restaurant sur la place du général Leclerc. Le repas sest déroulé avec des échanges de confidences sur nos vies mais sens essayer den connaître trop sur lautre surtout moi qui lui ai apparu comme une petite fille sage.
Après dîner nous sommes retournés au pied de mon immeuble et nous avons échangé nos numéros de téléphone.
Il me quittait sans essayer de membrasser, cest moi qui lui ai plaqué 2 bises sur ses joues.
Pendant six mois, chaque fois quil passait dans la région, il sest débrouillé pour venir me voir.
Son comportement était toujours le même.
Attente au bas de mon immeuble, resto et retour au bas de chez moi.
Pendant le reste du temps ma soif de sexe était toujours aussi forte.
Je me suis vu me faire prendre dans les toilettes du bar.
Jétais connu par les hommes comme celle que lon était sûr de ramener dans son lit.
Dans ces moments-là, après la manière dont le premier homme mavait viré, je baisais, je mhabillais et je partais.
Jai eu rapidement ras le bol des restos sans rien à la fin.
Je me suis souvenu que cest à cause dune chute que mon hymen mavait été enlevé à cause dune cheville qui avait flanché.
Lors de son passage suivant à quelques mètres de mon domicile, jai simulé une torsion de ma cheville, chevaleresque il ma soutenu et il a accepté de mamener jusqu'à ma soupente.
La chambre lui a paru exiguë surtout quil était obligé de sasseoir sur le lit le temps de prendre un verre.
Il ne se passait rien, je lai un peu et jai réussi à ce quil prenne ma bouche.
Le baiser est resté chaste, aucune main baladeuse.
Il sest levé et ma dit quil me rappellerait quand il repasserait.
Pour me venger, jai redoublé mes passages au bar.
Je suis même allé avec deux hommes qui mont pris par-devant et par-derrière en même temps, en ce temps-là jignorais que dans le monde du sexe ils appelaient cela une double pénétration.
Sans oublier les couples car les femmes appréciaient ma façon de les satisfaire après les nuits passées avec Carla.
Lors de son passage suivant, il ma attendu avec un costume neuf, même resto même repas ennuyeux, à un petit détail, au dessert le serveur ma conseillé, de prendre une génoise au chocolat et quand je lai coupé avec ma cuillère, jai touché un objet dur.
Jallais me mettre en colère contre les cuistots lorsque jai vu que lobjet brillait, cétait une bague.
Aussitôt Georges sest levé, et devant tous les clients il a mis un genou à terre et sous les applaudissements il ma demandé. « Océane je taime, veux-tu être ma femme. »
Est-ce le ridicule de la situation ou les applaudissements, mais je me suis entendu répondre oui »
Il a récupéré la bague qui bien entendu était trop grande pour mon annulaire.
Il ma pris dans ses bras, nos bouches se sont trouvées pour la première fois avec amour.
Cest à ce moment-là que jai pris conscience que jétais tombée amoureuse de ce grand dadais.
Il ma ramené comme toutes les fois et a proposé que jaille chez lui quelques jours à Saujon.
En effet, javais une semaine de vacances prévue et je lui avais dit au cours du repas.
Il ma conduit dans son univers, tout était nickel, aucun grain de poussière.
Nous nous sommes promenés le long de la Seudre.
Il avait lui-même préparé le repas du soir aux chandelles.
Je suis allé dans la salle de bain me préparer pour la nuit.
Je suis sorti avec une chemise de nuit que javais abandonnée depuis des années. Quand je me suis allongé il a éteint la lumière pour éviter de me gêner.
En experte que jétais devenue au fil des mois de luxure, je lui ai pris le sexe qui a grandi et où je me suis empalé.
Quand il a joui je me suis réallongée à ses côtés attendant quil fasse quelque chose avec mon corps qui avait lhabitude dêtre bousculé, malaxé, pénétré.
Après un passage à la salle de bain de sa part plus rien de la nuit.
Les jours suivant le même cheminement ont dicté nos ébats.
À la fin de mes vacances il a convenu que je reste à Saujon, jai appelé ma patronne pour lui donner ma démission et nous sommes allés chercher toutes mes affaires.
Deux mois plus tard nous étions mariés.
Au lit, rien navançait, plus dune fois mon amour pour lui ma poussé à le violenter mais au dernier moment, jai eu peur quil ne se demande pourquoi je devenais experte dans les jeux du sexe et jai reculé à le faire.
Un après-midi il ma emmené devant une villa.
Elle te plaît. Veux-tu la visiter, jai les clefs ?
Pourquoi refuser, elle mavait plu ?
Alors on lachète.
Mon copain qui la fait construire est en procédure de divorce et il lui faut vendre le plus vite possible. Il me la cède à un prix raisonnable.
Le temps de faire les papiers et nous avons emménagé.
Jétais très heureuse dans cette maison mais rapidement lennui ma rattrapé.
Après quelques mois, mon ventre, mon sexe, mes ovaires criaient famine.
Un jour où je revenais de chez mon gynécologue dont le cabinet est à Saintes, le travail très professionnel du praticien à réveiller ma libido.
Sur lautoroute, à quelques kilomètres darriver, une envie de faire pipi ma pris.
Deux kilomètres plus loin une station dessence ma permis daller aux toilettes. En sortant de mon véhicule, mes muscles se sont légèrement relâchés et jai mouillé ma culotte.
Je suis allé aux toilettes et suis ressorti la chatte à lair sous ma robe ayant mis ma culotte dans mon sac.
Je suis passé prendre une consommation au bar.
À mon côté, deux chauffeurs routiers couverts de tatouages prenaient un café.
Ils ont réussi à engager la conversation.
Rapidement leurs propos sont devenus un peu grivois.
Ma chatte sous ces gauloiseries ma démangé de plus en plus.
Dans un état second mais en grande excitation, ils mont conduit dans lun de leurs camions dun transporteur international.
Ils mont aidé à grimper dans la cabine avec une couchette et mont pris comme je lespérais, brutalement, sauvagement.
Je retrouvais les moments ou je me rendais au bar de nuit, chercher des queues.
Leurs mots mexistaient au plus haut point.
As-tu vu la salope elle était tellement pressée de se faire baiser quelle a enlevé sa culotte ?
Dommage jaurai bien complété ma collection.
Une fois que chacun de lun et de lautre ma enfilé leur verge me faisant jouir comme aux meilleurs moments de ma débauche avant de me quitter, ils mont demandé mon téléphone et mont dit de venir me faire saillir dans le café où tu mas vu me faire baiser.
Avant que tu ne me film, jaie profité de labsence de Georges plusieurs fois pour prendre mon plaisir dans les bras de ces hommes me baisant bestialement.
Voilà ma vie jusqu'à ce que tu viennes tout bousculer et je ten remercie.
Tu mas fait voir quil était possible de séclater sexuellement dans le respect de lautre et de notre couple.
Tu nous as ouvert de nouvelles perspectives.
À ce point de son histoire je minterroge davoir accusé Océane de non-assistance de mari en danger.
Elle-même était victime de son corps qui lui fait faire des actes que la morale réprouve.
Les tabous, les éducations rigoristes ont fait tant de mal à ceux qui ont été sur ce chemin qui a été le mien jusquà ce que Valérie me libère moi aussi de mes tabous.
Je suis redevable à George de tavoir payé pour venir dans sa chambre même si cela va nous coûter beaucoup dargent
Pour largent, dès vendredi tu seras remboursé largement de la somme quil a engagée.
Pourquoi ?
Je tai dit hier que jétais une escorte girl, vendredi par lintermédiaire dun copain la plupart des femmes et des hommes vont partir pour Bordeaux remplir les besoins damusement de certains membres dun congrès de médecins et de pharmaciens.
Virginie que tu as vue cherche un couple supplémentaire et nous avons pensé à vous.
Es-tu daccord, elle vous encadrera ?
Si elle est là, nous sommes daccord.
Demande lavis à Georges.
En acceptant de vous ouvrir avec Adonis, jai brisé le carcan qui me rendait passive dans ma vie, je tiens à changer, je suis certaine dans mon cur quil va être enchanté de cette initiative.
Elle me prend dans ses bras et elle membrasse amoureusement.
Allons déjeuner jemmène Katia à Royan à neuf heures.
Je peux venir avec vous.
En maillot de bain !
Non javais prévu quelques affaires qui sont dans notre voiture.
Alors daccord
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